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Par François Cattapan
Par Léa Larouche
Par Katherine Harvey-Pinard
Par Yves Therrien
Par Tommy Thurber
Par Ambre Giovanni
Par Antoine Deshaies
Entrevue avec Geneviève Leduc, conseillère principale aux programmes chez Fillactive
Avoir peur du ballon, être allergique aux sports d’équipe, prétexter une blessure pour rester sur le banc… Ces comportements vous rappellent quelque chose? Pour bien des filles, devoir prendre part à une activité sportive peut être suffisamment désagréable pour tenter d’éviter toutes les occasions d’en pratiquer. À tort ou à raison, plusieurs d’entre elles jugent très sévèrement leurs habiletés et préféreront se retirer plutôt que de participer. Comment faire pour éviter que nos jeunes filles grandissent en ayant si peu confiance en leurs moyens en contexte de pratique sportive?
En 2018, l’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire rapportait à nouveau à quel point il y a un écart entre les filles et les garçons en regard de leur pratique d’activité physique. Dans leurs loisirs, les garçons (22 %) sont plus nombreux que les filles (13 %) à être actifs. De plus, les filles de 5e secondaire étaient plus susceptibles d’être sédentaires que celles de 1er, 2e ou 3e secondaire, alors qu’il n’y avait pas de différences chez les garçons selon leur niveau d’étude. Quels facteurs seraient susceptibles de motiver les filles à pratiquer une activité physique régulièrement et ainsi renverser cette tendance?
Nombreuses sont les fillettes qui adorent sauter sur toutes les occasions d’être actives, comme le font la plupart des garçons du même âge. Le passage à la puberté marque cependant une phase de transition au terme de laquelle les adolescentes sont bien moins nombreuses que leurs pairs masculins à être actives régulièrement. Et si l’image corporelle des filles était l’une des causes de cet arrêt de pratique?
Le plein air a la cote auprès des filles! Cet intérêt grandissant s'explique par le fait que les activités telles que la randonnée en forêt, le canot ou la planche à pagaie peuvent permettre de contourner certaines barrières bien connues à la participation des filles et des femmes aux activités physiques et sportives. Absence de compétition, occasion de socialiser et de passer du temps de qualité avec des amies; toutes les raisons sont bonnes pour continuer d’encourager les filles à découvrir tout ce que le plein air a à offrir.
Par Myriam Arsenault
Par Alexandre Bellemare
Par Frédéric Lacroix-Couture
Par Kariane Bourassa
Après une année sans activité parascolaire, le niveau d’activité physique des jeunes a considérablement chuté. De plus, selon Femmes et sport au Canada, c’est une fille de 6 à 18 ans sur quatre qui n’est pas décidée à reprendre le sport. Comment redonner le goût à nos filles de faire de l’activité physique? Voici quatre pistes de solution.